prise par le temps
ce noeud coulant
éprise en courant
dans les méandres de l’agenda débordant
regarder l’ombre du soleil
qui se pose en partant
prise par le temps
dans le miroir
les rides se fissurent
un sourire timide
c’était si court c’était si vite
le chant des criquets
dehors l’été continue
